Roaarrr : Prix des Libraires

Roaarrr Challenge

Règlement : tous les deux mois, chaque libraire du Groupement des Libraires de Bande Dessinée (GLBD) vote pour deux albums. Le résultat de ce vote permet de dégager deux nominés. En cas d’égalité ne permettant pas de déterminer ces deux nominés, un jury de libraires départage les ex-æquo.
Au bout d’un an une liste de douze albums se dégage. Si un auteur a deux (ou plusieurs) albums nominés, le jury susnommé intervient pour choisir l’album qui concourra. Un vote final entre les nominés, auquel chaque libraire du GLBD participe, détermine le lauréat.
Un auteur ayant déjà reçu précédemment le Prix des Libraires de Bande Dessinée ne peut l’avoir à nouveau. S’il fait partie des nominés il participe au vote final, et s’il arrive en tête il sera mis en avant par une « mention spéciale ».

(Source : site CanalBD).

(L’) Autoroute du soleil de Baru (Casterman)

– Lauréat 1996 –

Choco : « Plus dense, plus dur et malgré tout moins léger que son prédécesseur, l’album s’inscrit dans la lignée de ces albums sociaux dont Baru est désormais la marque de fabrique »,

Lunch : « Baru ne se contente pas seulement de raconter une belle histoire, il en profite pour dénoncer ce qui ne lui plaît pas »,

Mo’ : « Un road-movie bien rythmé qui, au passage, aborde les thèmes du racisme, de l’amitié, des réseaux organisés et du passage à l’âge adulte »,

Vepug : « Cette BD est extrêmement violente. Les scènes sanglantes et les scènes sexuelles sont très présentes »,

Blast, t.1 : Grasse Carcasse de Manu Larcenet (Dargaud)

– Lauréat 2010 –

Badelel : « J’ai trouvé l’album long, et si le talent de narrateur de Larcenet n’est pas à remettre en cause, je n’ai pas réussi à rentrer dedans, et ce malgré deux lectures.. »,

ChezLo : « En plus d’être un album qui regorge de planches absolument sublimes, (…) les textes sont d’une grande qualité, on se délecte des paroles de Polza qui manie la langue française à merveille, mettant de la clarté dans le récit, dans cette bande dessinée très grise »,

Choco : « L’univers en lavis clair obscur, ponctué de très très rares touches de couleurs accentuent le côté sombre de l’album »,

Enna : « Certaines pages, des pleines pages avec des gris comme des aquarelles et des traits plus précis, sont comme des tableaux »,

Lunch : « Et nous volons avec lui pour découvrir l’histoire de ce bonhomme à l’apparence sympathique mais qui cache certainement une cruauté indiscernable »,

Mo’ : « Quoiqu’il en soit, j’apprécie la lenteur, les silences et les détours utilisés pour installer l’intrigue. On sent LARCENET libre dans son écriture. Un projet de 10ans qu’il a mûri… »,

MrZombi : « Je me suis beaucoup attaché à Polza et ce dès le début de l’album et plus j’avançais dans ma lecture et plus j’éprouvais de la sympathie et de l’attachement pour ce personnage atypique »,

Chute de vélo d’Etienne Davodeau (Dupuis)

– Lauréat 2005 –

Choco : « Récit tout en simplicité et sensibilité, il met en évidence les rapports familiaux et les difficultés qu’il peut y avoir dans chaque famille »,

Chtimie : « Mais cette fois-ci, j’ai trouvé que les personnages manquaient parfois de réalisme et frôlaient la caricature »,

Enna : « C’est une histoire de famille  assez banale… à part le secret de Toussaint, qui touche tout le monde »,

Mo’ : « Pourtant, de cette fiction, je ne retiendrais que le personnage de Jeanne qui, je trouve, est plus réel, plus palpable que les autres »,

Sophie : « Je n’ai pas spécialement adoré les dessins mais ils portent l’histoire avec efficacité. Et là, encore c’est la simplicité qui est frappante »,

(Les) Cinq Conteurs de Bagdad de Fabien Vehlmann & Frantz Duchazeau (Dargaud)

– Lauréat 2007 –

Mo’ : « Un des éléments principaux du scénario est le ton enjoué dont il fait preuve. Le rythme est alerte et contient beaucoup d’humour ; les répliques des uns et des autres ne tergiversent pas, la franchise et l’ironie sont de mise tout au long du récit »,

Colin-Maillard, t.1 de Max Cabanes (Casterman)

– Lauréat 1991 –

(Le) Dernier Loup d’Oz, t.1 : Prologue, la rumeur des eaux de Lidwine (Delcourt)

– Lauréat 1995 –

(L’)Étoile du désert, t.1 de Stephen Desberg & Enrico Marini (Dargaud)

– Lauréat 1997 –

Vepug : « Matthew, le héros quelque peu malheureux, a les traits très semblables à ceux de Sean Connery ce qui donne tout de suite une forte contenance au personnage »,

Ibicus, t. 1 de Pascal Rabaté (Vents d’Ouest)

– Lauréat 1999 –

Isaac le pirate, t. 1 : Les Amériques de Christophe Blain (Dargaud)

– Lauréat 2002 –

Julien Boisvert, t.1 : Neekibo de Dieter & Michel Plessix (Delcourt)

– Lauréat 1993 –

Lunch : « Tout d’abord le graphisme me paraît un peu vieillot, contrairement aux autres œuvres de Plessix que j’adore, Le vent dans les saules et sa suite Le vent dans les sables »,

Love in Vain de Jean-Michel Dupont & Mezzo (Glénat)

– Lauréat 2015 –

Enna : « Même sans connaître l’homme ou le blues, cette BD est très intéressante car si c’est le portrait d’un homme c’est aussi la peinture d’une époque et des conditions de vie des Noirs Américains dans la société américaine »,

Jérôme : « Le noir et blanc de Mezzo est sensuel, presque organique. Ses aplats sont d’une profondeur et d’une densité rarement vues« ,

Mo’ : « Dès le début de la lecture, l’ambiance graphique cueille le lecteur. Chaude, humide, suave, la musicalité qu’elle contient nous emmène bien au-delà des rives du Mississippi »,

(L’) Ombre aux tableaux de Jean-Claude Denis (Albin Michel)

– Lauréat 1992 –

XL : « La patte de Jean Claude Denis ? (…) il visite un univers personnel qui au final n’est pas sans espoir, ni tendresse »,

Période glaciaire de Nicolas De Crécy (Futuropolis)

– Lauréat 2006 –

Joëlle : « Si j’ai aimé voir ces chiens parlants et intelligents, souvent plus attachants que les humains qui les accompagnent, si ça m’a amusé de voir comment les gens du futur pouvaient s’imaginer notre civilisation actuelle (…) »,

Lunch : « À la fois fable historique, fantastique et écologique, Période glaciaire se fait l’écho de notre culture et nous met en garde par rapport à notre avenir »,

Mo’ : « Au final, ce chien est amusant mais inaccessible, touchant mais trop pragmatique, ce qui le rend distant »,

Noukette : « La liste des œuvres croisées est impressionnante, liste qu’on retrouve d’ailleurs de façon extrêmement détaillée en fin d’ouvrage, mais tout cela est finalement assez froid et ne procure pas de réelle émotion… »,

(Le) Photographe, t. 1 de Didier Lefèvre & Emmanuel Guibert (Dupuis)

– Lauréat 2004 –

ChezLo : « On sourit, mais l’atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l’alternance des photographies et des dessins »,

Mo’ : « Cela permet également de sortir complètement cet ouvrage du registre de la fiction dans lequel ce média (BD) aurait pu l’enfermer »,

Polina de Bastien Vivès (Casterman)

– Lauréat 2011 –

Badelel : « Dès les premières pages j’ai été subjuguée. On ressent la danse dans les traits pleins de grâce de Vivès »,

ChezLo : « Un bel album aux planches toutes de noir et blanc et gris, aux traits mêlant finesse et épaisseur, rappelant ainsi le graphisme de la calligraphie »,

Choco : « Les ellipses narratives se font de manière tout à fait naturelle et les tranches de vie de Polina se succèdent avec bonheur »,

Enna : « Cette bande dessinée va bien au-delà de la danse et de son exigence, de ce milieu si particulier. C’est vraiment une bande dessinée d’initiation »,

Joëlle : « (…) mais là, j’ai trouvé l’ensemble un peu creux, sans émotion et sans vie »,

Lunch : « C’est aussi une réflexion sur l’enseignement, une belle parabole sur les sentiments qui se développent entre un maître et son élève, sur l’émancipation »,

Mango : « Exigence et humilité. Par delà l’effort et la difficulté, il faut atteindre la grâce et la légèreté, au prix de grands sacrifices »,

MrZombi : « Son trait est fluide et donne une impression de mouvement, on ressent bien l’émotion des personnages et les ballerines sont pleines de grâce »,

Noukette : « On pourra me dire ce que l’on veut, que le dessin rend à merveille le mouvement, les sentiments, la légèreté, la grâce… que sais-je encore…, je n’ai rien trouvé d »élégant dans ce qui pour moi reste un trait grossier et finalement peu esthétique »,

OliV’ : « Usant du gris et du noir, l’auteur réussit à retranscrire l’effort et la douleur de cet art de la danse classique, contemporaine »,

Sophie : « Les expressions des personnages sont peu représentées mais le trait de crayon évolue en même temps qu’eux. On voit plutôt des silhouettes. Et pourtant, tout cela ne m’a pas dérangée ! J’ai vraiment été séduite par l’unité de cette BD, par la narration »,

Portugal de Cyril Pedrosa (Dupuis)

– Lauréat 2012 –

Badelel : « Dès les premières pages, on peine à dissocier Simon Muchat de Cyril Pedrosa. Finalement persuadé qu’ils se confondent, on déguste cette lecture du début à la fin »,

ChezLo : « Un lourd album, truffé de planches qui régalent les yeux. Des couleurs vives et des traits fins, mais aussi beaucoup de pénombres, de nuit. Le travail sur la lumière et sur le mouvement est remarquable »,

Enna : “J’ai beaucoup aimé cette très belle histoire de recherche d’identité, que ce soit personnelle, au sein d’une famille ou plus largement sur les origines, sur l’influence du passé sur la vie des uns et des autres”,

Jérôme : « Le résultat est assez bluffant, ressemblant à bien des égards à un morceau de jazz qui laisse libre court à l’improvisation tout en s’appuyant sur une ligne mélodique des plus solides »,

Loula : “Il y a une ambiance dans cette bd qui fait qu’on se laisse porter et qu’on retournerait bien faire un petit voyage au Portugal ! Mais il y a aussi Simon, qui est quand même le personnage principal et à qui je n’ai pas réussi à m’attacher…”,

Lunch : “C’est un livre qui me touche aussi, non pas à cause du voyage au Portugal mais plutôt par l’écho qu’il fait à ma propre éducation, à ma vision de la famille (…)”,

Mango : “J’aime beaucoup la variété des planches, si différentes parfois les unes des autres selon leur propos”,

Mo’ : “Une histoire sincère, intelligente et servie par des ambiances graphiques propices au voyage. Une belle accroche avec les personnages et l’univers, un album dans lequel je me suis sentie bien”,

Sophie : « Aux frontières de l’autofiction, avec humour et vivacité, Cyril Pedrosa signe – en couleurs directes et émotions immédiates – un récit essentiel sur la quête d’identité »,

Quartier lointain, t. 1 de Jiro Taniguchi (Casterman)

– Lauréat 2003 –

Badelel : « Hiroshi Nakahara s’accorde un retour aux sources, un moment propice à la réflexion sur sa vie familiale dans le passé aussi bien que dans le présent »,

ChezLo : « On y croit, on le vit avec Hiroshi ce retour réel dans son passé, cette immersion dans l’enfance avec le regard et le vécu de l’adulte conscient du décalage temporel… »,

Enna : « Cette BD est un beau retour sur l’adolescence et un rappel que notre vie est faites de toutes les expériences que nous traversons »,

Joëlle : « Histoire empreinte de nostalgie sur l’enfance et de tendresse pour la vie familiale, elle pose aussi les questions des choix qu’on fait et des conséquences qui en découlent »,

Kidae : « Que ferions-nous, que changerions-nous si nous pouvions retourner dans le passé en gardant nos souvenirs et notre analyse d’adulte ? »,

Lunch : « Un récit sublimé par ces dessins toujours travaillés avec une grande finesse »,

(Le) Rapport de Brodeck, t.1 : L’Autre de Manu Larcenet (Dargaud)

– Mention spéciale 2015 –

Enna : « (…) Manu Larcenet a su parfaitement adapter le texte, le poids lourd et fort de cette histoire à son album : je ne peux pas imaginer une meilleure adaptation »,

(Le) Réseau Bombyce, t.1 : Papillons de nuit d’Eric Corbeyran & Cecil (Les Humanoïdes Associés)

– Lauréat 2001 –

Cely : « Cecil au dessin illustre parfaitement cette période par des couleurs chaudes et des dessins très réalistes »,

Lunch : « Le récit (…) mélange le polar noir et la vie de rapine avec brio »,

Shutter Island de Dennis Lehane & Christian De Metter (Casterman)

– Lauréat 2009 –

Kidae : « Christian de Metter a respecté l’ambiance de l’histoire en dessinant des images aux couleurs très sombres »,

Joëlle : « Sinon, côté adaptation du roman, c’est vraiment bien réussi (…). On y retrouve la même atmosphère pesante, les mêmes doutes, les quelques indices disséminés ça et là (…) »,

Le Singe de Hartlepool de Wilfrid Lupano & Jérémie Moreau (Delcourt)

– Lauréat 2013 –

Badelel : « Drôle et piquant du début à la fin, et pourtant parsemé de moments de grandes émotions, impitoyable et absurde jusqu’au bout, Le singe de Hartlepool s’accompagne d’une découverte visuelle bien agréable, de traits abrupts à la plume (…) »,

Enna : « Il y a un mélange de « légèreté » dans le dessin et les faciès des personnages et de drame dans le contenu de cette BD qui est plutôt réussi »,

Lunch :  » (…) je trouve qu’il a su insuffler du dynamisme à son trait, ce que certains auteurs plus connus ont toujours du mal à faire. Un dessin accompagné d’une couleur un peu fade mais qui colle bien au fog et au crachin anglais »,

Mo’ : « L’auteur utilise habillement quelques personnages secondaires (des enfants) pour faire figurer son positionnement à l’égard de ces courants de pensée rétrogrades ; sans tomber dans le jugement de valeur, il place quelques petits pics humoristiques dont le lecteur se saisit avec plaisir »,

Spirou et Fantasio (Une aventure de), t. 4 : Le Journal d’un ingénu d’Emile Bravo (Dupuis)

– Lauréat 2008 –

(Le) Sursis de Jean-Pierre Gibrat (Dupuis)

– Lauréat 1998 –

Cely : « La fin n’est pas ce que l’on peut espérer, ce n’est pas une belle histoire d’amour sur fond de guerre (…), cela se passe par temps de guerre, et rien ne peut empêcher la violence de s’immiscer au moment ou on ne s’y attends pas ! »,

Mo’ : « Clandestinité, sentiments et espionnage fraternel sont les ingrédients principaux du diptyque »,

(La) Terre sans mal d’Anne Sibran & Emmanuel Lepage (Dupuis)

– Lauréat 2000 –

Cely : « Cette jeune française est le lien entre ce peuple indien et nous lecteur, elle nous sert de guide, nous invite dans ce voyage initiatique et nous montre la volonté du peuple à croire en un monde meilleur »,

Choco : « Cette grande fresque épique est, par ailleurs, totalement sublimé par le dessin d’Emmanuel Lepage dont c’est le premier album qu’il réalise en couleurs directes »,

Trait de craie de Miguelanxo Prado (Casterman)

– Lauréat 1994 –

(Les) Vieux fourneaux, t.1 : Ceux qui restent de Wilfrid Lupano & Paul Cauuet (Dargaud)

– Lauréat 2014 –

Badelel : « Loin du vieux décrépit et croulant (mais quand même on en croise un), nos trois héros n’ont jamais vraiment perdu leurs 20 ans. Ils sont toujours aussi idéalistes, déterminés et inconséquents »,

Enna : « Des personnages hauts en couleurs avec un langage « fleuri », argotique, drôle et décalé. C’est drôle et vivant »,

Jérôme : « Il faut reconnaître aussi que le dessin de Cauuet offre à ces papys des trognes inoubliables. De nombreuses choses passent dans leurs regards, leurs postures et leurs corps abîmés par les années, tout cela participe à rendre l’atmosphère de cet album assez unique »,

Lunch : « Ces vieux fourneaux pourraient s’apparenter à ces films bien français dont nous avons le secret, avec leurs personnages hauts en couleur et dans le cas présent un trio de vieillards débridé. Une influence que l’on retrouve dans ce récit avec cette façon de mettre en scène des protagonistes terriblement humains qui gardent cet esprit revanchard et acerbe »,

Mo’ : « Le dessin de Paul Cauuet ne cherche pas à épargner les protagonistes. Nerveux, fluide, il illustre de façon amusée les ventres bedonnants qu’un pantalon recouvre jusqu’au-dessus du nombril. Avec générosité, il s’arrête sur de larges sourires édentés, griffe avec humour les trognes parfois renfrognées de ces papis à qui on ne la raconte plus depuis longtemps »,

(Le) Voyage en Italie, diptyque de Cosey (Dupuis)

– Lauréat 1990 –

Auteur : Mo'

Chroniques BD sur https://chezmo.wordpress.com/

28 réflexions sur « Roaarrr : Prix des Libraires »

  1. Je crois que ce sera dur de trouver des billets sur des albums pas très récents, à moins de les lire spécialement pour ton challenge 😉 Mais j’en ai quand même noté quelques-uns !

    J’aime

    1. Le Roaarrr ne va pas tellement allonger ma liste en fait ^^ J’en avais déjà beaucoup que je voulais lire avant et pour ceux que j’ai déjà lus, je crois que je suis prête à les relire. Je relis peu pourtant dans l’année passé, j’ai repris « Le pouvoir des Innocents », « Le Bar du vieux français » et « Maus », ce sont les premiers qui me viennent en tête. J’ai à chaque fois pris beaucoup de plaisir à reprendre ces œuvres. Je ne dis pas non plus que je les relirais tous ^^

      J’aime

    1. Merci Lunch,
      Tu a été bien plus sensible que moi au contenu de cet album. J’ai beaucoup de mal avec De Crecy et avec cette Collection de Futuro. Deux handicaps que je ne suis pas parvenue à dépasser pour apprécier cette lecture 😦

      J’aime

      1. Oui, j’ai lu ton billet après coup.
        Je trouve pour ma part que c’est le meilleur de la collection Louvre, du moins pour ceux que j’ai lus (et pourtant je tiens en très haute estime le travail d’Éric Liberge).
        Mais heureusement que les goûts et les couleurs ne sont pas identiques pour tous, on s’ennuierait ferme 🙂

        J’aime

        1. 😆
          Absolument.
          Pour Erci Liberge, je connais mal l’univers de cet auteur. Tu m’avais fait découvrir « Monsieur Mardi Gras Descendres », j’avais adoré et… ahem… je ne me suis même pas donné les moyen de lire la suite de la série (j’ai honte)
          Quant à cette collection, je ne me permets pas de juger de la qualité des ouvrages qu’elle contient seulement, je ne parviens pas à entrer dans ces univers. Regardes mon échec sur « Les Sous-Sols du Révolu » !

          J’aime

            1. Je sais, mais il ne t’es pas tombé des mains. Je n’ai même pas lu la seconde moitié de l’album 😛

              J’aime

    1. Je vais enregistrer tout ça et préparer l’article. J’ai découvert l’information hier soir en rentrant du travail ! Très bonne nouvelle pour Jérémie Moreau (certes… pour un premier album c’est plutôt une bonne chose) mais pour Lupano aussi. J’espère que ça donnera envie à certains lecteurs d’aller fureter dans sa bibliographie et d’avoir ainsi le bonheur d’y découvrir « Alim le tanneur » 😉

      J’aime

        1. Mouais… ^^ Je ne sais pas trop si c’est un compliment ça 😀 Mais je sens bien que je suis en train de me faire chambrer 😆

          J’aime

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.