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Étiquette : Travail social

Vogue la Valise (Siris)

Siris © La Pastèque – 2017

Lorsque Renzo monte à bord du Jean-Brillant pour rejoindre l’équipage, il est loin de se douter de ce qui l’attend. A la demande du Capitaine, il monte sur le haut mât pour observer l’horizon mais très vite, la mer devient si grosse qu’il en perd l’équilibre. Après une terrible chute, il se réveille à l’hôpital et apprend qu’il a six bons mois de convalescence devant lui. Au terme de cette longue période, difficile pour Renzo d’imaginer remonter sur le mat d’un bateau, surtout avec un pied bot. Une nouvelle vie s’ouvre à lui. Il rassemble ses affaires dans sa valise et part quelques temps chez son frère à Montréal.

Les mois puis les années passent sans que Renzo ne trouve une nouvelle vocation. L’alcool l’aide « à endormir son handicap » et à noyer son amertume. Puis il rencontre Luce et fonde une famille avec elle. Mais son penchant pour l’alcool s’accentue. Il enchaîne les boulots mais finit toujours par se faire renvoyer, Luce se fait du mauvais sang, leur situation financière empire et leur famille continue de s’agrandir. Un.. deux… cinq enfants !… Renzo dérive toujours plus loin, se saoule toujours plus et entraîne femme et enfants dans la misère. Les cinq enfants seront placés.

C’est dans cette famille que nait La Poule, un petit garçon pas comme les autres qui va vivre une drôle d’enfance. Placé en famille d’accueil dès son plus jeune âge, ce récit est son histoire … jusqu’à sa majorité.

–

Une lecture plutôt timide, je dois dire que j’ai été un peu affectée par le sort que Siris réserve à son personnage.

Et puis, j’ai été légèrement déstabilisée par le chemin que suit la narration. Pour commencer, je précise que nous sommes en présence d’une intégrale qui regroupe les tomes de la série. Le premier place au centre du récit un jeune homme qui peine à construire sa vie après un accident qui l’oblige à revoir complètement sa vie. Dans un premier temps, il noie ses désillusions dans l’alcool et même s’il parvient ensuite à se construire sur le plan affectif, l’accroche est là, la bouteille est devenue sa compagne. On observe, impuissants, à sa lente dérive et à aucun moment on ne perçoit une quelconque remise en question de sa part. Le fait est, il boit et les quelques tentatives d’arrêt ne suffisent pas à écarter définitivement l’alcool de sa route. Et la chute vertigineuse qu’il impose à sa famille ne semble pas plus être une motivation à l’abstinence. Un peu comme un « c’est comme ça et ce n’est pas autrement » …

Lorsque s’ouvre la seconde partie de l’album, on constate avec un peu d’étonnement que Siris a changé de narrateur. Ainsi, c’est La Poule – petit dernier de la fratrie – qui devient notre interlocuteur/narrateur. Nous allons le suivre dans ses placements successifs (d’une famille d’accueil à l’autre) avec un passage de quelques années en institution.

Un personnage beaucoup plus accessible que son père. Très touchant du fait de son jeune âge (lorsqu’il endosse le rôle du personnage principal, il a 2 ans). Et pour cause ! La Poule n’est autre que le double de papier de Siris… son alter-ego. Nous sommes donc en présence d’un récit autobiographique où Siris/La Poule relate son enfance malmenée. Très tôt, il a dû apprendre à gérer la douloureuse séparation d’avec sa mère.

Très tôt, il a fait l’amer constat que la majeure partie des familles d’accueil n’ont aucune considération pour lui… si ce n’est que grâce à lui, elles perçoivent le chèque mensuel qui les rémunère pour le simple fait d’héberger et de nourrir en enfant qui n’est pas le leur.

Vogue la valise – Siris © La Pastèque – 2017

La Poule se rend rapidement compte qu’il y a un réel décalage entre la manière dont on le traite et la manière dont est traité « l’enfant roi » de la famille.

La Poule est le seul personnage qui n’ait pas un visage humain. Et si au passage, on attrape les commentaires de quelques personnages secondaires qui décrivent son apparence (beaux yeux », « quel bel enfant ! »…), nous – lecteurs – n’auront accès qu’à un personnage anthropomorphe au corps d’humain et au visage d’animal (un pacifique poussin en l’occurrence). En grandissant, il va parvenir à trouver un peu d’espace à lui grâce à ses amis ; ces bouffées d’air seront des instants d’autant plus précieux pour lui.

Un récit poignant, prenant, touchant… mais un peu dur parfois tant il y a ici une succession de coups durs, de maltraitances psychologiques, de désillusions, de séparations, souffrances, injustices, colères étouffées …
La violence des prises en charge institutionnelles est ce que l’on retient de cet ouvrage. Ces familles d’accueil ne semblent se soucier que d’une seule chose : le chèque qu’elles perçoivent mensuellement pour les indemniser des frais d’accueil de ces jeunes enfants.

On se retrouve chez Noukette pour partager les lectures présentées à l’occasion de cette session de « La BD de la semaine » !

Vogue la valise

Intégrale
Editeur : La Pastèque
Dessinateur / Scénariste : SIRIS
Dépôt légal : novembre 2017
340 pages, 25 euros, ISBN : 978-2-89777-018-1
L’album sur Bookwitty.

Bulles bulles bulles…

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Vogue la valise – Siris © La Pastèque – 2017

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Auteur Mo'Publié le 09/05/201809/05/2018Catégories Biographie / Autobio, La Pastèque, Reportage / Témoignage, SirisMots-clés Addiction, Alcool, Amitié, Auteurs, BD, BD de la semaine, Couple, Famille, Handicap, Institution, Intégration, Placement, Société, Souffrance, Travail social33 commentaires sur Vogue la Valise (Siris)

Lectures sous le soleil de Grèce (3)

3ème et dernier billet (si, je vous promets !) et non des moindres ! Avec 3 romans à savourer d’urgence  ….

 

Julie Lamiré – Un foyer

image« Divorcée, la quarantaine, mère d’une adolescente, Sarah entame une nouvelle carrière d’éducatrice spécialisée dans un foyer pour garçons. Dans cet établissement où cohabitent des sans-papiers, des travailleurs sociaux, des jeunes carencés en proie à la colère et à la névrose, Sarah prend conscience du poids de l’exil, du deuil et du manque. Un roman qui nous entraîne avec douceur dans les méandres de nos mondes invisibles, si loin de nous, et pourtant si près. »

 

Voilà qui me plait ! Un roman qui parle du social, d’un métier que l’on connait peu (celui des éducateurs et des travailleurs sociaux), peu évoqué dans la littérature. Un livre qui donne la parole aux invisibles…. Ça me plait et  me touche forcément : 12 années passées dans un foyer mère-enfant, c’est un milieu que je connais bien.

La force de ce récit ce sont les personnages : les adolescents évidemment : Ibrahima (comment ne pas être touchée par ce magnifique portait de cet enfant venu du Mali avec son ami Mamadou), Kévin et Rayan… Les adultes aussi : Sarah, Nordine ou encore Fatoumata (certainement mon personnage préféré. Quelle femme, quelle énergie, quelle fougue !), ou encore les parents de ces jeunes…

La force de ce livre, c’est aussi (surtout) cet endroit,  ce foyer d’accueil pour ces jeunes sans repères, sans cesse sur le fil, en équilibre précaire (en sera t’il toujours ainsi ?). De ce lieu se dégage, malgré la violence des parcours de vie, une si belle humanité…

Et l’histoire, si elle est douloureuse, ne sombre jamais dans le pathos, ni dans les clichés.

J’ai retrouvé beaucoup de choses vécues (comme ces réunions interminables et souvent vaines), découvert d’autres choses, j’ai réfléchi et me suis attachée à ces adolescents marginalisés. J’ai aimé faire un bout de chemin avec eux….

 

Extrait

« En filigrane, dans son cerveau, ces adolescents qu’elle connaissait à peine, qui la chamboulait déjà. Du Mali à la cité du coin, elle suivait leurs pas, imaginait leurs conversations, les rôles qu’ils jouaient, les sanglots étouffés dans les oreillers, le sentiment de solitude. Lorsqu’elle pensait à eux, elle éprouvait un véritable chagrin, et, bien qu’elle ne les connût pas intimement, elle se sentait déjà proche d’Ibrahima, de Kévin, de Rayan et de tous les autres. C’était une sensation à la fois douce, insensée et déroutante. Vertigineuse aussi. Serait-elle assez forte pour les aider ? »

Les billets de Fanny, de Stéphie, de Sarah.

Julie Lamiré, Un foyer, les éditions du 38, 2016.

 

 

Anna Mc Partlin – Les derniers jours de Rabbit Hayes

9782749141732WEB« C’était une radieuse journée d’avril, et Mia « Rabbit » Hayes, quarante ans, fille bien-aimée de Molly et Jack, sœur de Grace et de Davey, mère de Juliet, douze ans, meilleure amie de Marjorie Shaw et grand amour de Johnny Faye, était en route vers une maison de soins palliatifs pour y finir ses jour. »

A cause d’un autre billet follement tentateur, celui de Cajou, me voilà plongée dans ce roman qui raconte neufs jours minuscules, les derniers, de la vie de Mia, dit « Rabbit », demoiselle (oui, à quarante ans, on dit encore demoiselle !) de quarante ans. Punaise, ce livre, cette histoire, cette claque !

Dès les 1ers mots, les 1ères larmes. Et pourtant, suis pas une chialeuse. Il m’en faut. Suis toutafé costaud. Solide. Un roc. Jamais je flanche. J’en ai vu d’autres. On me l’a fait pas à moi. J’ai quarante ans quoi !

Mais c’était sans compter le talent de cette auteure, son écriture lumineuse, son humour féroce, sa tendresse débordante, son optimisme jamais forcé et ses personnages … Formidables ! Rhooooo les personnages qui peuplent ce roman sont savoureux, truculents même ! Dès les 1ers mots, on s’attache à cette famille, on est eux, ils sont nous ! Alors on rit, on espère, on pleure, on rêve, on se souvient, on vit quand même, malgré tout, malgré la maladie et le désespoir total, malgré l’absurdité de cette fin de vie, trop tôt, trop jeune, trop moche, trop …

Merci Cajou, jamais, oh grand jamais, je ne serai allée voir du côté de cette histoire… Je serai passée à côté ce roman tendre, beau, intelligent. Tellement drôle ! Sacrebleu, rien que d’en causer, en suis encore toute chamboulée 😉

C’est à ne pas y comprendre, c’est un IMMENSE coup de cœur !

 

Extrait

« « Le passé devenait si réel qu’il l’était parfois plus que le présent. C’était peut-être un effet des opiacés, ou peut-être Rabbit était-elle tellement fatiguée quand elle était éveillée que son esprit ne retrouvait de l’énergie qu’une fois qu’elle dormait. Et puis, quand elle ne dormait pas, elle devait affronter la réalité de sa situation. Deux semaines plus tôt, elle vivait encore avec le cancer ; aujourd’hui, on lui disait qu’elle était entrain d’en mourir et qu’elle laisserait derrière elle sa fille de douze ans. Mais non… c’est juste un peu de fatigue. Quelques jours de repos et je me sentirai mieux. Je ne vais pas abandonner Juliet. Aucun risque. C’est hors de question. Elle ne pouvait pas faire face à une chose pareille. Ne pouvait pas en parler. Ne pouvait l’accepter. Au lieu de se forcer à rester éveillée dans le présent, elle s’attardait dans le passé, et écoutait Johnny Faye chanter à cœur perdu. »

Les billets de La féelit, de Cajou  (le billet tentateur !)

Anna Mc Partlin,  Les derniers jours de Rabbit Hayes, Le Cherche Midi, 2016

 

 

Stéphanie Pelerin – (Presque) jeune, (presque) jolie, (de nouveau) célibataire

9782863743652-001-X_0« Quand Ivana se fait larguer comme une vieille chaussette par Baptiste, après huit ans d’amour, il ne lui reste plus que ses kilos et ses rides à compter. Pas facile de se retrouver sur le marché des célibataires à la trentaine, quand, pour couronner le tout, on manque de confiance en soi. Tentant d’ignorer son chagrin, elle décide de reprendre sa vie (et son corps) en main et s’inscrit sur « Be my boy », célèbre site de rencontres. Si l’offre est alléchante, les produits sont souvent de second choix, voire des retours de marchandise… Heureusement, il reste les amies et le bon vin. À travers des expériences étonnantes, Ivana doit réapprendre à prendre soin d’elle. Mais rien ne sert de courir… il suffit juste d’être au bon endroit, au bon moment. »

 

La meilleure lecture, évidemment, pour la fin : le livre de Stéphie. Son tout 1er roman. Oui, je sais, vous allez dire, je suis conquise d’avance, je ne suis pas bien honnête ni totalement objective ni …. Je sais. C’est vrai. Toutafé vrai. Je suis même drôlement fière. D’elle. Et puis, je ne suis jamais impartiale, je m’en fous ! J’aime. Ou pas 😉

Et là… Mhuuuum là … J’ai été drôlement émue par cette lecture qui fleure bon les copines, la vie, les mojitos (j’me comprends !), les rencontres, l’été, l’amoureeeeeeeee …. C’est savoureux, léger, drôle, enlevé, un brin canaille… C’est piquant, simple,  un brin amer parfois (juste ce qu’il faut), rythmé, si joliment écrit, avec un soupçon de dérision, un poil de sexe, avec de la déconvenue, de la reconstruction, des doutes, du désir, des frémissements, des larmes, des baisers, du quotidien à réinventer, une solitude à apprivoiser, des hommes à dompter (Grrrrrrrrrrr…), une héroïne qui nous ressemble, qui lui ressemble, une héroïne qu’on aimerait pour amie…

Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu un livre comme ça. Et ce fut un régal ! Par un sublime après midi grec, sous la clim’, me suis plongée avec délice dans cette tranche de vie contée par Ivana… En suis sortie, sourire aux lèvres, un brin ébouriffée et avec une envie immense de croquer la vie ! A lire, je vous dis, pour rire, pour aimer, pour s’évader le temps de quelques heures !

Extrait

« Ivana n’avait pas conscience d’être une jolie femme. Elle possédait pourtant de nombreux atouts : elle était grande, avait une abondante chevelure frisée et une jolie paire de seins généreux. Persuadée d’avoir un visage ingrat, elle avait toujours pensé ne devoir son succès avec les hommes qu’à son appétissante poitrine. A l’adolescence, ses photos de classe en témoignaient, elle avait manqué de gout pour s’habiller, se maquiller et se coiffer. Il suffisait de comparer son look à celui de ses copines pour comprendre à quel point elle avait pu être en décalage. Quand les hommes avaient commencé à la séduire, quelques années plus tard, elle en avait tout simplement conclu que c’était parce qu’elle n’était pas farouche et avait saisi l’aubaine de ne plus être seule. La jeune femme avait toujours vu comme une chance que l’on puisse s’intéresser à elle. »

 

Les  billets de Antigone, Charlotte, Emily, Fanny, Géraldine, l’Irrégulière, Jérôme, Laurie, Maël, Marie-Claire, Mylène,Sarah, Saxaoul, Sharon, Stéphanie , Noukette …

 

Stéphanie Pelerin – (Presque) jeune, (presque) jolie, (de nouveau) célibataire

 

Et j’en profite pour vous coller des bises et vous souhaiter courage, détermination, abnégation… et bien plus encore pour cette nouvelle rentrée 😉 Que la force soit avec vous, avec nous 😉

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Auteur framboisePublié le 02/09/201614/09/2016Catégories Chroniks Expresss, Editions du 38, Lamiré, Le Cherche Midi, Mazarine, Partlin, Pèlerin S., Tranche de VieMots-clés Amitié, Coup de Coeur, Famille, Femmes, Intégration, Littérature, Monde médical, Mort, Précarité, Sentiments, Travail social7 commentaires sur Lectures sous le soleil de Grèce (3)

Le Bar à BD – Chroniques de lectures

Le Bar à BD - Chroniques de lecture

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Je vadrouille sur la toile sous le pseudo de " Mo' ".

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Au plaisir de vous lire et de faire votre connaissance,

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Je-suis-Charlie

7 janvier 2015

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