Mobilisation pour les librairies indépendantes

Je relaye un article de News Book.

A l’origine de cette démarche, une réflexion impulsée par Ys sur le comportement des lecteurs à l’égard de l’achat en ligne. Un constat : peu d’internautes sont informés que de nombreuses librairies indépendantes font de la vente en ligne.

Du coup, le clic facile s’oriente souvent vers de grosses enseignes de la vente, au détriment des librairies indépendantes.

C’est pourquoi, la rédactrice de News Book a décidé de créer un outil :

Je viens de créer une Google Map (lien de la Google Map accessible à partir de l’article de News Book) qui a pour but de recenser ces librairies. Elle sera en permanence disponible sur ce site (en cliquant sur le logo « J’aime mon libraire » visible sur la page d’accueil, ou dans la barre supérieure) et ne demande qu’à être relayée. Chaque librairie est pointée par un repère, puis reprise dans un listing indiquant ses spécificités.

J’espère qu’on sera nombreux à relayer cette initiative, à en parler et à utiliser cet outil !

Parlez-en à vos libraires et demandez-leur de prendre connaissance de cet article :

http://newsbook.fr/mobilisation-pour-les-librairies-independantes/

Auteur : Mo'

Chroniques BD sur https://chezmo.wordpress.com/

27 réflexions sur « Mobilisation pour les librairies indépendantes »

  1. ah!!!!! enfin des personnes qui pensent dans le sens des libraires indépendants, je hurle quand on me dit en rayon, mais c’est moins cher sur internet, non la loi lang de 1981 oblige tous les libraires de France à avoir le même prix, le prix unique du livre nous sauve , nous les libraires indépendants, je me bats contre ces idées reçues a longueur de journée, et oui nous faisons généralement de la vente à distance aussi, il faut savoir que le secteur va mal en ce moment et que des grands groupes qui font les frais de port gratuit ça ne nous aide pas, mais un libraire, ce n’est pas que de la vente, c’est une relation, un conseil et des services, alors que la page net elle est muette et sans sourire, j’aime aiguillé mes clients sur tels ou tels ouvrages méconnues, car il n’a pas le sucés des gros titres, sans nous les petits éditeurs passeraient à la trappe
    merci en tout cas pour ce soutien

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    1. Je suis d’accord avec toi Cely, sur le fait qu’une relation avec un libraire se passe de tout intermédiaire, à commencer par celui de l’écran. Pour ma part, j’en suis absolument convaincue et je n’imagine pas devoir un jour me priver de cette relation-là.
      L’origine de cette démarche est toute autre, elle a émergé à la suite d’un billet qu’Ys a mis en ligne sur son blog. Elle y pointait le recours systématique à des achats en ligne sur des sites tenus par des grandes enseignes. Citer des noms ? Est-ce utile ?? Je ne voulais pas ici créer une nouvelle polémique. Je ne pratique pas l’achat en ligne, je m’imagine mal commander un ouvrage sans l’avoir tenu, feuilleté, soupesé… sans avoir eu un échange avec mon libraire dessus. Et même si lorsque je vais à la librairie, j’ai toujours une petite liste qui m’accompagne, je fais souvent l’impasse sur de nombreux titres qu’elle contient et je suis les conseils que mon libraire me donne
      Je ne trouvais pas utile d’importer ici le contenu de l’article qui a donné lieu à cette initiative mais si vous souhaitez le lire, je vous invite à suivre le lien vers l’article de News Book et, une fois là-bas, de cliquer sur le lien qu’Ys propose sur l’article de son blog personnel

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  2. Un achat en ligne, aussi pratique soit-il, n’aura jamais le charme d’une visite en librairie, d’une discussion à propos du « coup de coeur » du libraire (ou d’un autre client d’ailleurs…). Les librairies sont des endroits magiques, il faut les préserver.

    Effectivement, l’avenir des petites maisons d’édition indépendantes dépend beaucoup de celui des librairies indépendantes. Nous sommes liés par notre amour du livre de qualité et nos avenirs sont liés. Connaissez-vous cette campagne « Mon libraire ne vend pas les livres au poids. Il donne du poids aux livres. » ?

    Un aperçu, ici : http://www.letransfo.fr/content/view/full/13556

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    1. Bonjour Oriane,
      oui, je connais cette campagne et je vous remercie d’avoir importé le lien dans votre commentaire.
      J’ai l’impression que mes propos (le contenu de mon article) sont mal interprétés. Loin de moi l’envie de faire la promotion de la vente par correspondance. Si je suis consciente du coté pratico-pratique que cela peut apporter à certains, je n’y ai moi-même pas recours. J’habite dans une grande ville, il y a de nombreuses librairies indépendantes qui plus est, elles sont facilement accessibles. Me priver d’un libraire, c’est tout simplement impossible

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      1. Oh, j’ai dû mal m’exprimer ou exprimer des évidences. Pas de méprise de mon côté, je partage entièrement votre avis…

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        1. Mais qu’est-ce que c’est compliqué de s’exprimer via internet ! ^^
          Je m’excuse Oriane, je crois que j’ai interprété le sens des commentaires ce matin ! 😳

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  3. Je lis beaucoup de notes au sujet des libraires indépendants en ce moment. C’est bien tout ça, mais j’aimerais que le mouvement perdure.
    L’initiative de de News Book est bonne, mais elle reste centrée sur la livraison. Combien de librairies indépendantes ne livrent pas ? N’auraient-elles pas le droit de figurer elles-aussi sur un listing ?

    Je ne sais pas si ce genre d’initiative changera la mentalité des gens. Je l’espère. En tout cas c’est une mobilisation quotidienne qu’il faut pour soutenir le métier de libraire mais aussi des éditions indépendantes que seuls les libraires indépendants peuvent promouvoir (les grosses boites ne mettrons pas en avant des articles qui seront difficile à vendre).

    « Mon libraire ne vend pas les livres au poids. Il donne du poids aux livres. »
    J’ai le sac qui va bien, ainsi que celui « J’aime mon libraire » jaune bien flashy, et je ne manque pas de les exhiber chaque vendredi lorsque je fais mes courses en librairie.

    Amazon grossit tous les jours et utilise des stratagèmes pernicieux pour grossir toujours plus. La société s’attaque maintenant à la blogosphère, à ceux qui parlent des livres tout simplement.
    Ce n’est pas une honte de succomber à la tentation… ils proposent aux gens ce qu’ils attendent, ce dont ils ont besoin : de l’argent. Et par les temps qui courent, c’est sûr que tout est bon à prendre. Après, c’est une question de principe et de prise de connaissance. Il faut que les gens prennent conscience du mal qu’ils font à la profession en relayant ce genre de procédés.
    Si tous les blogueurs étaient unis derrière les librairies indépendantes, cela ne sauverait peut-être pas le métier, mais ça donnerait un bol d’air non négligeable.

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    1. Bon. Effectivement, il y a mal donne sur l’interprétation de cet article. Alors je vais mettre les points sur les « i » en profitant de ton commentaire Lunch. Ne le prend pas mal hein, mais depuis quelques temps, les interprétations rapides de mes propos commencent à m’agacer sur ce sujet

      Alors non, je ne suis pas une fervente partisane de l’achat en ligne. Si j’ai pratiqué à deux reprises, c’était pour des envois destinés à des blogueurs. Ceux qui me fréquentent par l’intermédiaire de ce blog ou d’un autre espace (virtuel ou non) sont au courant que j’aime quand les échanges/décisions/démarches… sont réactives. Souvent, quand je décide de quelque chose, j’essaye de faire en sorte que les choses ne marasment pas et à deux reprises, j’ai eu le clic facile sur un site de vente en ligne. Je n’en connais que deux : Amazon et la Fnac… c’est dire si à quel point je me suis donnée la peine de chercher si des libraires indé pratiquaient la vente en ligne ! Sur ce, le temps passe, la menace que la TVA à 7% est rendue publique et Ys publie ce billet d’humeur. L’occasion de parler de nos habitudes d’achat et, pour moi, de découvrir que les librairies indépendantes font également de la vente en ligne. L’échange chez Ys a abouti à une proposition : celle de créer une carte des librairies indé qui proposent ce service. Je précise ici que si j’ai souhaité apporter mon soutien à cette initiative, c’est Ys qui se coltine tout le travail d’enregistrement des libraires qui souhaitent s’y enregistrer, tout le travail de liens bref, toute l’intendance. Merci à elle !
      Pour le reste, si j’ai précisé dans une autre discussion avoir « le temps de quelques chroniques » inséré un lien vers le site d’Amazon, c’est sans grand étonnement que j’ai appris que personne (ou presque) n’avait remarqué la présence de ce lien. Alors qu’on me jette la pierre ensuite en criant haut et fort que « c’est une pratique que je dénonce », « je ne suis pas d’accord »… ça me fait marrer. Parce que si j’ai pu lire ça et là que les uns et les autres se targaient du montant de leurs factures chez le libraire (150 euros ? 215 euros ?)… bien, les miennes sont plus salées généralement et je n’ai pas pour autant reçu une auréole pour ça. Alors excusez-moi du peu mais ce blog est un blog amateur, je finance mes albums et l’idée d’obtenir un petit « cheqe-lire » de 10 euros… ben… je ne crache pas dessus. Entre temps, le lien Amazon a été supprimé de mes articles depuis hier, ce n’est pas pour autant que les gens l’ont remarqué.

      Ensuite, pour en revenir à nos moutons, je disais que je ne pratiquais pas l’achat en ligne. C’est un positionnement personnel et qui touche à tout les produits commercialisés : des fringues aux cd… en passant par les livres. Surtout les livres j’aurais tendance à dire. Alors non, pour rien au monde je ne me priverais de la relation avec un libraire, de ses échanges et de ses conseils. Seulement voilà, dans le débat qui a eu lieu chez Ys, beaucoup d’internautes ont reconnu acheter en ligne, essentiellement sur la Fnac et Amazon. Sachant désormais que les librairies indé font de la vente en ligne, je ne peux que relayer cette initiative pour « forcer » un peu les habitudes d’achats virtuels de certains. Si tout le monde n’a pas la chance d’habiter en milieu urbain et d’avoir une librairie à moins d’1/4 d’heure de chez lui… il y a d’autres « clics » à faire que ceux « faciles » proposés par les des grandes enseignes.

      Voilà, un comm’ hors sujet mais Mo’ en pétard sur l’interprétation facile de ses propos 👿

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      1. Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit Mo’. Je n’ai pas critiqué quoi que ce soit de ton initiative et encore moins de ta façon d’acheter des livres.
        D’une part parce que je trouve ces initiatives très bonnes et malheureusement trop isolées, d’autre part parce que chacun est libre de faire ce qu’il veut et qu’en aucune façon je ne ciblais quelqu’un, et encore moins toi.

        Il y a des choses à faire je pense pour aider la profession. Je suis même persuadé que je n’en fais que trop peu avec mon site à moi, qui ne contient finalement qu’un petit texte permanent sur la page d’accueil.
        Ma réponse, écrite à la va-vite et mal interprétée, était plus une grogne que je me destinait tout autant que les autres en disant qu’on pourrait sûrement regrouper toutes les initiatives fleurissant ça et là pour en faire un mouvement à la fois d’envergure et certainement plus porteur pour soutenir nos libraires indépendants.

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        1. Mais j’ai dit que je profitais de ton comm’ pour faire un pied de nez à toute interprétation éventuelle 😉
          Bon, ahem… il y a effectivement des retours lus chez David qui me sont restés coincés en travers de la gorge 😆

          Sinon, dans ma colonne latérale, il y avait deux liens vers des librairies indé en janvier. Actuellement, il n’y en a plus qu’un… pour peu de temps car il ferment à la fin de mois 😥
          En un an, j’ai perdu mes deux librairies et « La librairie du 9ème Art » est la première librairie BD que j’ai fréquenté. A chaque fois que je suis à Nancy, je me prévois toujours une petite virée pour profiter de leur accueil. Là, j’ai le moral en berne. Je me pose à peine dans une nouvelle librairie sur Toulouse mais j’ai quand même la larme à l’oeil
          Quant à ce que tu écris : « on pourrait sûrement regrouper toutes les initiatives fleurissant ça et là pour en faire un mouvement à la fois d’envergure et certainement plus porteur pour soutenir nos libraires indépendants ». Je réponds oui, oui et oui. Reste à trouver comment ! ^^

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          1. A Bordeaux aussi on a perdu deux librairies que je fréquentais (c’est à me demander si je porte pas la guigne d’ailleurs).
            L’une d’elle était tenue par David Fournol d’ailleurs : Oscar Hibou. La seconde, Bédélire, je la fréquentais depuis mes 14 ans.
            Ça fait mal au cœur de voir ça, et je pense que la situation des libraires empire d’année en année malheureusement.

            On devrait discuter de tout ça, je suis sûr qu’on pourrait trouver quelque chose pour regrouper les bonnes initiatives.

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            1. Yep !
              Si cette publication (qui ne servait qu’à relayer une initiative) peut être doublement constructive… je prends, surtout sur ce type de sujet !

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  4. J’aimerais ajouter une chose :
    Mo’, merci pour ce billet.
    Tu as une fréquentation importante sur ce blog. Nous sommes bien petits à côté de toi. Espérons que ta mobilisation touche le plus de monde possible.

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  5. je ne sais pas si vous connaissez http://www.1001libraires.com/ mais ce site a été conçu pour défendre les libraires indépendants, il y a quelques mois, c’est aussi un pied de nez a grande enseigne, car en deux clic on peut reserver directement chez le libraire du coin, et venir le chercher ou se le faire livrer
    Et je ne pense pas que tu as crée une polémique, mais ton blog est très bien référencée, ce sont des personnes comme toi qui peuvent nous défendre et se faire un petit peu entendre, alors merci à toi mo’

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    1. Honnêtement Cely, sans vous (les libraires), je suis une lectrice malheureuse. Alors chacun investit le livre à sa façon, fait le choix de rester un lecteur silencieux ou en parle à sa manière sur un blog mais je crois qu’il ne faut pas oublier que la relation qui se noue entre un libraire et ses clients est à la source de notre passion et du plaisir qu’on tire de nos lectures. Si je n’avais pas rencontré les gérants de la Librairie du 9ème Art, je me serais contentée de picorer dans les rayons de grandes enseignes certainement. Ils m’ont transmis leur passion pour la BD et je n’oublie pas cela. A mon petit niveau, si mon blog peut aussi permettre de renvoyer la balle aux professionnels du livre alors cela me motive à poursuivre 😉

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  6. Je rejoins Lunch : que de monde par ici !

    Mo’, merci pour ce billet.
    Même si je reste un farouche défenseur de l’achat « en rayons », le meilleur moyen de faire des découvertes au gré des étals et des couvertures…
    Longue vie aux librairies indépendants !

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    1. Holà générale pour une déferlante de compliments. Arrêtez les gens, j’ai les chevilles qui enflent et je ne peux plus enfiler mon pull-over 😆
      Oui, oui Champi, moi aussi je préfère user mes chaussures en rayon plutôt que de me faire des ampoules à force de cliquer. Mais que veux-tu… sniff
      Cela te dirais qu’on réfléchisse à la proposition de Lunch sur kbd ?? On est plutôt bon quand on met nos neurones en commun dans cette équipe 🙂 (oui, je sais… grosse tête je vous dis :P)

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  7. Je ne sais pas ce qui t’a déplu dans les commentaires sur mon blog, j’espère que je n’ai pas encore dit un truc de travers.
    Ce billet ne visait personne en particulier hormis ces grosses boîtes de vente de livres qui cherchent à nous acheter en nous faisant miroiter des choses. Et puis c’était également l’occasion pour moi d’évoquer le prix unique, chose que je n’avais jamais fait auparavant.

    Ensuite, évidemment, je partage ton avis et je vais essayer d’intégrer ce logo sur le blog.
    A Evreux, nous avons un peu de chance avec les librairies. 3 indépendantes pour 50000hab. dont 1 spé BD et 1 qui a une grosse identité BD. C’est pas mal même si les temps sont dures pour elles. J’aimerai leur donner mon salaire mais malheureusement je ne suis que bibliothécaire et nous ne sommes pas connus pour rouler sur l’or. D’un autre côté, j’ai une puissance d’achat public sous la main. Notre profession essaye de faire ce qu’elle peut pour aider les locaux.

    En tout cas, merci pour cette initiative !
    Et puis, tous ensemble on est plus fort.

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    1. Oui… bon… moi aussi j’ai un coup de pompes en ce moment. Bzzz, je prends la mouche 🙂

      Contente de voir que le sujet fait réagir ! Sous cette forme du moins ! Je suis bien consciente que ce n’est qu’une infime partie du problème

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  8. Je dois être une des rares à n’avoir jamais demandé un seul conseil à un libraire (ou à un/une bibliothécaire) ! Je sais toujours ce que je veux acheter ou lire … et ma liste est déjà suffisamment longue pour m’occuper plusieurs vies 🙂 Et on ne croule pas sous les librairies indépendantes ici … il y en a bien une spécialisée BD mais après deux passages (on y avait pourtant ouvert une carte fidélité), j’en ai déduit que celle qui s’en occupait aurait pu tout aussi bien vendre des tomates et des patates vu son enthousiasme ! Par contre, la librairie qu’on fréquentait à Nimes était excellente (et on y retourne toujours pendant nos vacances car elle a été reprise par des passionnés) et j’en ai trouvé une bien à Brest mais bon, ça fait quand même 1h30 de route !

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    1. En fait, je crois que je suis « viscelarde » quand je choisis un libraire. Quand j’arrive dans une librairie que je ne connais pas, je sais toujours ce que je veux acheter et j’évite le contact. Si le libraire vient, ma foi, je lui dis ce que je cherche et lui demande s’il pourrait me conseiller des titres par rapport à mes gouts. S’il me présente les gros titres – allez, en vrac : Sillage, Lanfeust (l’erreur !!^^), Bilal… j’en reste à ma liste et il ne me reverra plus. Parce qu’il ne m’a pas écoutée, j’en déduis qu’il a d’autres chats à fouetter. Si ses conseils sont judicieux, si l’échange se crée… alors c’est gagné. C’est comme ça que j’ai découvert un petit libraire à Brive-la-Gaillarde cet été. Il peut être sûr de revoir ma bouille aux prochaines vacances 😆

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      1. le conseil facile de certains vendeurs m’horrifie!!! mais nous ne sommes pas tous pareils, et heureusement, pour ma part les gros titres non pas besoin de moi, ils se vendent seuls, et au vue des sorties, il y a toujours des titres non connus à faire découvrir, c’est mon idéal de vente, c’est ça le métier de libraire! souvent les gens nous décrivent comme de simple vendeur condescendant, non je ne connais pas tout et heureusement, cela permet de découvrir chaque jour de nouvelles choses et j’apprends aussi de l’échange avec mes clients fidèles ou non…

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        1. Oui, bien sur que oui les libraires sont compétents. L’exemple que je cite là n’est pas arrivé très souvent. Quand une librairie me plait, je n’achète pas ailleurs (sauf quand je suis en vadrouille).
          Le conseil facile est un comportement qui me dépasse. C’est rare, fort heureusement. Après coup, en relativisant, je me dis que proposer des titres grand public à un client qu’on ne connait pas peut être gage de sécurité ; parce que la série se vend, que des lecteurs l’apprécient, il y a peu de risque que l’album déplaise ?? Après, comme tout métier basé sur l’écoute, il y a des jours où c’est difficile non pas d’écouter, mais d’entendre.
          Bref, je trouve que c’est un métier « important » dans le sens où pour moi, le libraire est un maillon dont je ne peux me passer
          Champi proposait d’écrire une lettre d’amour à son libraire (pour vous manifester notre soutien : http://lataniereduchampi.over-blog.com/article-j-aime-mon-libraire-89550337.html). Je crois que je vais la tenter, je me sens en verve aujourd’hui 😆
          😉

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  9. Eh bien Mo’, les échanges sur ce billet sont la preuve que rien ne vaut le contact direct pour se comprendre ! Mon librairie fait de la vente en ligne, il est sur la carte, mais bien évidemment, je ne lui ai jamais demandé de m’envoyer un livre : je vais le voir ! Ça tombe tellement sous le sens… ce listing est bien sûr uniquement une alternative aux gros bouf’tout, manquerait plus que ce soit interprété autrement…
    Ceci dit, je ne sais pas si ce sont des libraires qui s’expriment sur ton blog, en tout cas, ils ne se sont pas inscrits. J’aimerais bien savoir pourquoi, j’aimerais bien savoir ce qu’ils ne jugent pas pertinents dans cette action, juste pour comprendre… parce que je passe mon temps à faire des choses pour aider, si elles n’aident pas, j’aimerais savoir pourquoi…

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    1. Je m’emballe parfois trop vite et je ne me relis jamais. Un grand défaut qui occasionne parfois de mauvaises interprétations de mes propos (je suis peut-être ciblé par ta remarque, d’où ma réponse ^^).
      Je suis pas libraire (mais y’en a qui ont réagi ici cependant). La librairie que je fréquente n’est pas sur ce listing et je ne sais pas si elle fait de l’envoi postal, je me renseignerais et si c’est le cas je leur parlerais de cette initiative. Je ne suis pas réfractaire, c’est un outil, et comme je le disais il n’est pas de trop. Il faudrait qu’on planche sur quelque chose qui permette de regrouper tous les outils permettant d’aider les libraires. Je m’engage à en parler en tout cas avec Mo’ et quelques autres puisqu’elle a évoqué ça dans le cadre de k.bd.

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      1. J’ai ouvert un fil de discussion ce matin 😉
        Après, on peut aussi l’évoquer ici ou sur un de nos blogs (le tien, celui de David, Champi… un autre ??). La démarche n’est pas sectaire en fait 😆

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  10. je note !
    et vais aller faire un tour à la recherche d’une librairie… pas évident d’en trouver une pas trop loin du bureau ou de chez moi (de toutes façons, il me faut une voiture pour y aller !)

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