Des séries que j’ai vu ça et là, le moment de s’y essayer donc.
» Pour un Occidental, les bandes-dessinées japonaises apparaissent sommaires et synonyme de violence. Or, au Japon, elles sont lues par tous car il en existe une infinie variété : les une sont destinées aux enfants, les autres aux adultes ; certaines s’adressent plutôt aux hommes, d’autres plutôt aux femmes. Tous les sujets sont traités. Les mangas peuvent être intimistes, sophistiqués ou populaires. Les films de Benoît PEETERS souligne la créativité de leurs auteurs, la diversité de leurs styles. Successivement, il montre trois artistes, trois mangakas fort différents.
A l’opposé, la démarche de Jiro TANIGUCHI est véritablement celle d’un auteur. Plutôt que d’illustrer le récit, Taniguchi le construit au fur et à mesure en dessinant. Ici, le dessin est écriture. Ses histoires sensibles, introspectives, restent dans la retenue et la discrétion.
Sympa !
J’aime bien « Everyday » et je suis tentée par « les fils de la terre » mais il n’y avait que le trois la dernière fois que je suis passée à la bibli… (je trouve qu’il n’y a pas assez de BD dans cette bib;-)
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Ah oui, et je ne peux pas supporter Frédéric Boilet!!
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Et surtout on ne peux prendre que 8 documents à la fois ce qui est quand même insupportable quand on a déjà deux romans à la main et qu’on se dirige vers le rayon BD…
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