Roaarrr : Prix Polar

Le Prix Polar est un « Fauve Angoulême » décerné depuis 2012.

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Castilla Drive d’Anthony Pastor (Actes Sud – L’An 2)

– Lauréat 2013 –

Mo’ : « Un dénouement un poil prévisible, c’est peut-être ce que l’on pourra reprocher à cet album »,

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Intrus à l’Etrange de Simon Hureau (La Boîte à Bulles)

– Lauréat 2012 –

Choco : “L’auteur réussit à mener de front les différentes pistes du récit sans perdre son lecteur. (…) le lecteur est balloté d’un mystère à un autre sans qu’il puisse rien deviner du vrai ou du faux”,

Enna : « J’ai bien aimé l’histoire mais j’ai j’ai trouvé que la fin qui est vraiment très riche était trop brève par rapport au reste »,

Mo’ : “… cet arrangement s’adapte régulièrement à la trame narrative : les contours de cases disparaissent, s’arrondissent et zooment sur un détail et ou un visage, s’arc-boutent bref, la mise en page m’a surprise, charmée”,

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Ma Révérence de Wilfrid Lupano et Rodguen (Delcourt)

– Lauréat 2014 –

Enna : « (…) le dénouement de leur aventure montre qu’ils ont tous les deux bien plus d’humanité que l’image qu’ils avaient montrée jusqu’ici ne le laissait supposer »,

Jérôme : « Vincent surtout m’a beaucoup touché. Un peu fragile, un peu lâche, un peu rêveur, très amoureux, très poissard, pas du tout sûr de lui mais parfaitement lucide. Je me suis retrouvé dans ce personnage sur bien des points »,

Joëlle : « Cela fait monter le suspense et en plus, cela rend Vincent encore plus attachant au fil des pages, faisant oublier les faux pas qu’il a pu faire pour ne voir à la fin que l’être faillible mais profondément humain qu’il est« ,

Kidae : « (…) je n’ai eu qu’une envie, suivre les aventures de ces deux égarés de la vie. Tout au long de cette histoire racontée, histoire plus jalonnée de mauvaises expériences que de bonnes, je me suis attachée à Vincent et Gaby »,

Mango : « D’emblée, je fuis ce genre de récit et de personnages, seulement cette fois, la magie a opéré : j’ai été séduite »,

Mo’ : « Charge à eux de nous surprendre et en cela, le scénario de Lupano a de la ressource. Qu’on me dise que tout cela est bien convenu, je me charge de balayer ces arguments »,

Moka : « La force de cette BD n’est pas sans lien à mon humble avis avec l’incroyable humanité de ses personnages. Ils sont touchants dans leurs grandes faiblesses et leurs vaines espérances. A la fois idéalistes et blasés, ils sont des êtres qui n’existent qu’à travers leurs paradoxes »,

Noukette : « Un scénario qui m’a complètement prise par surprise, parce que ce n’est pas un simple « polar », parce que cette histoire de braquage n’est finalement qu’un prétexte à dérouler de façon fort originale les vies bancales, banales et imparfaites de ces deux compagnons de galère, sûrement le plus beau duo de paumés qu’il m’ait été donné de rencontrer »,

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Petites coupures à Shioguni de Florent Chavouet (Philippe Picquier)

– Lauréat 2015 –

Jérôme : « Chavouet met sa virtuosité graphique au service de l’histoire sans jamais tomber dans l’exercice de style et le résultat est bluffant. Sa science du cadrage fait mouche, même si la prise de risque est permanente »,

Mo’ : « L’enquête est en ébullition. Quant au lecteur, outre les rebondissements permanents qu’il découvre, il sera mis à contribution pour scruter chaque page qui mêle joyeusement illustrations, coupures de presse, notes griffonnées sur un carnet, numéros de téléphones… »,

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