Roaarrr : BD Boum

Roaarrr Challenge

L’association bd BOUM est née en 1984, à Blois, à l’initiative de travailleurs sociaux, d’enseignants et de militants de l’Education Populaire. Dés sa création, le projet associatif s’est démarqué avec une orientation pédagogique. Depuis chaque année, pendant trois jours, le festival accueille environ 20 000 visiteurs et 120 auteurs. La manifestation entend proposer un projet différent, décliné à travers des orientations artistiques mais aussi pédagogiques, sociales et citoyennes.

(Source : site de l’Association BD Boum).

(L’) Affaire des affaires, t.1 : L’argent invisible de Yan Lindingre & Denis Robert & Laurent Astier (Dargaud)

– 2009 : Prix Conseil Régional –

ChezLo : « L’Affaire des Affaires rend compte des questions quotidiennes que se pose le journaliste engagé, de la difficulté de faire passer un message au grand public quand les média retiennent surtout les aspects superficiels et people« ,

Annie Zoo de Jean-David Morvan & Nicolas Nemiri (Delcourt)

– 2009 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

(Le) Bleu est une couleur chaude de Julie Maroh (Glénat)

– 2010 : Prix Région Centre & Prix Conseil Régional –

ChezLo : « On vit les sentiments de ces jeunes filles comme les nôtres, leurs vibrations et leur passion sont universelles »,

Choco : « Les émotions et les situations sont extrêmement réalistes et on partage avec l’héroïne ses affres du cœur »,

Chtimie : « Ici, il n’y a pas de clichés juste une histoire pleine de subtilités (d’ailleurs, les scènes de sexe ne sont jamais vulgaires), d’intelligence, de sensibilité et d’émotions »,

Enna : « C’est une histoire pleine de sensibilité et de justesse sur la différence et ses difficultés dans le quotidien et dans sa construction personnelle »,

Joëlle : « Il n’est jamais facile d’aborder le sujet de l’homosexualité mais l’auteure a réussi à en parler d’une façon qui m’a beaucoup plu, elle est toute en sensibilité, subtilité, retenue et pudeur »,

Mo’ : « On matérialise sans difficulté tout ce qui a trait à la sensibilité, la sensualité, le doute, le désir, le désespoir »,

Purple Velvet : « Mais le récit est mené de manière subtile, sans racolage, c’est au contraire très sensible et touchant, par petites tranches de vie au fil du journal intime de Clem »,

Sophie : « Cette BD est bien plus qu’une BD sur l’adolescence, c’est une dénonciation de l’étroitesse d’esprit des gens, du jugement constant de la société sur les individus »,

Boucle d’Or et les sept ours nains, t.2 : La faim des sept ours nains d’Emile Bravo (Seuil)

– 2006 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Boule à Zéro, T. 1 : Petit cœur chômeur de Zidrou & Serge Ernest (Bamboo)

– 2012 : Prix du Conseil Général –

Enna : « C’est amusant et même parfois émouvant »,

Noukette : « Il faut toute la finesse, la pertinence et l’intelligence de Zidrou pour arriver à nous faire sourire avec un sujet pareil. Ce qui n’empêche pas l’émotion, bien présente, Zita et ses pannes de cœur, ça remue quand même… »,

(Le) Cadet des Soupetards, t.4 : L’arbre au Pierrot d’Eric Corbeyran & Olivier Berlion (Dargaud)

– 1996 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

(Les) Cahiers Russes de Igort (Futuropolis)

– 2012 : Prix Région centre –

Mo’ : « Récalcitrante à l’idée d’abandonner cet album, captivée par le travail d’Igort, c’est une réelle ambiguïté qui m’a accompagnée durant toute la lecture »,

(Les) Carnets de Cerise, t.2 : Le livre d’Hector de Joris Chamblain & Aurélie Neyret (Soleil)

– 2015 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Enna,

Chinn, t.1 : Les bambous de la sagesse de Bertrand Escaich & Fred Vervish (Bamboo)

– 2008 : Prix Conseil Général –

Choco, t.1 : Baraka la cata de Zidrou & Carine De Brab (Casterman)

– 2001 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Clara, t.1 : Clara de Christophe Lemoine & Cécile (Le Lombard)

– 2012 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Clichés Beyrouth 1990 de Sylvain Ricard & Bruno Ricard & Christophe Gaultier (Les Humanoïdes Associés)

– 2004 : Prix Nouvelle République –

Joëlle : « C’est cet aspect de l’histoire qui est le plus intéressant : on découvre un peu comment se passe la vie quotidienne, comment il est parfois difficile d’aider alors qu’on est pourtant volontaire, des amitiés qui se tissent, la gentillesse des gens »,

Mo’ : « Les témoignages se font à cœur ouvert, les gens parlent de leurs peurs, de leur abattement et de la difficulté à supporter le conflit. Cette partie-là du récit est convaincante »,

Clichés de Bosnie de Aurélien Ducoudray & François Ravard (Futuropolis)

– 2013 : Prix Région Centre et Prix Nouvelle République –

Mo’ : « On est si bien accueilli dans cet album qu’il est très facile d’emboîter le pas d’Aurélien Ducoudray. Le rythme est enlevé et le ton amusé, deux indices qui laissent présager que la lecture sera agréable »,

Couleur de peau miel, t.2 de Jung (Quadrants solaires)

– 2008 : Prix Région Centre –

Bidib : « La force de cette bande-dessinée est de nous faire réfléchir sur des sujet graves tout en gardant beaucoup d’humour. On y retrouve une fratrie des plus espiègles en laquelle tout et un chacun peut s’identifier »,

ChezLo : « Entre humiliations, rêves, incompréhensions, Jung peine parfois à se définir… »,

Enna : « Il revient sur son histoire personnelle, s’interroge sur ce qu’il ressentait en tant qu’enfant ou adolescent adopté »,

Joëlle : « L’humour est moins présent que dans le premier tome, on sent que le malaise est beaucoup plus profond »,

Lunch : « Certes, la dérision est toujours là, et sans elle on serait probablement noyé »,

Sophie : « J’ai apprécié le recul de Jung sur sa propre vie, son humour et finalement l’orphelinat tel qu’il nous le peint ne semble pas si triste que ça pour l’enfant »,

Dans la secte de Pierre Henri & Louis Alloing (La Boîte à bulles)

– 2005 : Prix Région Centre –

Joëlle : « Traité avec réalisme et sans complaisance, le sujet est intéressant et le dessin naïf se met au service de l’histoire »,

Mo’ : « J’en ai entendu parler à plusieurs reprises, des avis généralement positifs, pourtant… une fois encore, sur un ouvrage de Pierre Henri, je trouve que le récit manque de profondeur et d’impact »,

Dieu en personne de Marc-Antoine Mathieu (Delcourt)

– 2009 : Prix Nouvelle République –

Badelel : « Poussée jusqu’au bout de son concept, cette BD amène à réfléchir sur notre société autant que sur certaines questions théologiques concernant l’existence de Dieu, son omnipotence, son universalité (…) »,

Choco : « Pourtant, j’ai tout de même été quelque peu ennuyée par certaines envolées métaphysiques qui m’ont quelque peu perdues et ces longueurs m’ont empêchés d’apprécier pleinement cet album »,

Enna : « Et pourtant, je me suis ennuyée car toute les parties concernant le procès et le questionnement sur l’existence de Dieu m’ont parues TRES philosophiques, très intellectualisées et oserais-je dire un peu « bavardes »… »,

Joëlle : « J’ai aimé voir l’auteur développer toutes ces techniques de narration et c’est vraiment original. Mais il faut quand même être intéressé par un certain type de raisonnement philosophique pour complètement appréhender le texte de cet album »,

Lunch : « Dieu au théâtre de l’absurde, dans une monochromie parfaite pour jouer le jeu de l’ombre et de la lumière »,

Marie : « L’histoire est suffisamment ouverte pour que chacun puisse l’interpréter comme il veut, en fonction de ses propres croyances. J’ai apprécié cette ouverture et ce respect du lecteur »,

Mo’ : « J’ai réellement savouré cet album mais je dois dire qu’une bonne partie des textes échappent à ma compréhension. De nombreuses références sont faites, par le biais de citations et de jeux de mots, de personnages célèbres… »,

(Les) Enfants terribles, t.1 : Maxime Maximum de Jean-Luc Cornette (Casterman)

– 1995 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

(L’) Envolée sauvage, diptyque de Laurant Galandon & Arno Monin (Bamboo)

– 2007 : Prix Conseil Général –

Bidib : « En dehors du sort des juifs on voit aussi une France divisée. (…) Sans entrer dans le récit historique, L’envolée sauvage nous donne matière à réflexion »,

Choco : « Un album intéressant à mettre plutôt dans les mains des enfants pour leur expliquer cette période tourmentée de la France »,

Fantômes blancs, t.1 : Maison rouge d’Appollo & Li-An (Vents d’Ouest)

– 2005 : Prix Nouvelle République –

Félix, contre le nuage qui changeait tout de Fabrice Lebeault (Delcourt)

– 2002 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Hyper l’hyppo de Jean-David Morvan & Nicolas Nemiri (Decourt)

– 2005 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Intrus à l’Etrange de Simon Hureau (La Boîte à Bulles)

– 2011 : Prix Nouvelle République –

Choco : « L’auteur réussit à mener de front les différentes pistes du récit sans perdre son lecteur. (…) le lecteur est balloté d’un mystère à un autre sans qu’il puisse rien deviner du vrai ou du faux »,

Enna : « J’ai bien aimé l’histoire mais j’ai j’ai trouvé que la fin qui est vraiment très riche était trop brève par rapport au reste »,

Mo’ : « … cet arrangement s’adapte régulièrement à la trame narrative : les contours de cases disparaissent, s’arrondissent et zooment sur un détail et ou un visage, s’arc-boutent bref, la mise en page m’a surprise, charmée »,

José Lapin (Une aventure de), t.1 : Une carotte pour deux de  Messina & Lepithec (E. Proust Editions)

– 2009 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

(Le) Jour où j’ai échangé mon père contre deux poissons rouge de Neil Gaiman & Dave McKean (Delcourt)

– 2000 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Mo’ : « Son scénario nous fait accepter l’inacceptable, l’image de l’adulte docile en la personne du papa-objet qui se plie au bon vouloir des uns et des autres »,

Kalimbo de Crisse & Frédéric Besson (Soleil)

– 2013 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Louca de Bruno Dequier (Dupuis)

– 2013 : Prix Conseil Général –

Lucille, t.1 de Ludovic Debeurme (Futuropolis)

– 2006 : Prix Région Centre –

ChezLo : « Ce pavé de plus de 500 pages de planches dessinées au trait léger, aux textes rares, affranchis des bulles et autres cases de rigueur, ce pavé qui s’égrène à une vitesse considérable nous procure une palette d’émotions »,

Joëlle : « On ne sent pas de jugement posé sur ces êtres qui se débattent principalement avec eux-mêmes »,

Mo’ : « De nombreux passages muets nous permettent de matérialiser leurs états d’esprits et donnent de la consistance à leurs sentiments/émotions. La page se tourne facilement malgré l’appréhension de ce qu’on peut y trouver ensuite »,

Ludo, t.1 : Tranches de quartier de Denis Lapière & Vincent Mathy (Dupuis)

– 1998 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Jérôme : « On est donc en présence d’une structure littéraire particulière : les récits enchâssés. L’exercice de repérage des ces deux récits est intéressant à proposer à de jeunes lecteurs pour qu’ils affinent leur compréhension du langage propre à la bande dessinée »,

Ma Maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill de Jean Regnaud & Emile Bravo (Gallimard)

– 2007 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Badelel : « Ma Maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill est avant tout l’histoire (…) émouvante d’un enfant qui grandit dans un monde qu’il ne comprend pas »,

Enna : « Très jolie bande dessinée sur l’enfance et sur les méfaits des secrets »,

Lunch : « Avec justesse, ils ont montré que la vie était une succession de moments importants, que chacun avait ses préoccupations et ses problèmes »,

Mo’ : « La fine frontière entre monde réel et monde imaginaire donne une ambiance originale à cet album, la voix-off de l’enfant permet d’aborder les non-dits, le rapport à l’absence et à la mort de manière ludique, pertinente, sans pathos »,

Magnum Photos, tome 1 : Omaha Beach, 6 juin 1944 de Jean-David Morvan & Séverine Tréfouël & Dominique Bertail (Dupuis)

– 2014 : Prix Nouvelle République –

Mamette, t.2 : L’âge d’or de Nob (Glénat)

– 2008 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Lunch : « Le second tome de notre mamie héroïne ne perd pas de sa saveur, et ça c’est un excellent point positif »,

Mamette (Les Souvenirs de), t.1 : La vie aux champs de Nob (Glénat)

– 2010 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Badelel : « Les souvenirs de Mamette offre à la petite fille un caractère bien trempé, une histoire et un passé qu’on ne lui soupçonnait pas »,

Jérôme : « Le temps s’écoule lentement, certaines séquences proposent une succession de pages muettes contemplatives du plus bel effet »,

Lunch : « Il y a aussi ce personnage de « Tatan Suzon » qui rajoute un peu de profondeur sentimentale à la narration »,

Matt et Higgins, t.3 : Nés pour courir de François Roussel (Soleil)

– 2005 : Prix Conseil Général –

Mes années bêtes et méchantes de Joub & Nicoby (Drugstore)

– 2010 : Prix Spécial Nouvelle République –

ChezLo : « Avec ce récit et ses dessins humoristiques, parfois alternés avec de réelles illustrations tirées de l’ancien magazine, on passe un bon moment »,

(Les) Mohamed de Jérôme Ruillier (Sarbacane)

– 2011 : Prix Conseil Régional –

ChezLo : « … les témoignages d’hommes, de mères, d’anciens enfants issus de l’immigration algérienne. Souvent amers, nostalgiques, apaisés ou résignés, ils sont toujours dignes et humains »,

Joëlle : « En divisant ces témoignages par générations, j’ai trouvé qu’on voyait bien l’évolution des gens, de leur façon de penser et de se comporter, d’accepter certaines choses et de les refuser à présent »,

Mo’ : « Jérôme Ruillier s’est totalement approprié la démarche. Il se met en scène, à la fois acteur, spectateur, passeur de témoignages et critique de société »,

Monsieur Blaireau et Madame Renarde, tome 4 : Jamais tranquille ! de rigitte Luciani & Eve Tharlet (Dargaud)

– 2011 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Jérôme : « Sur un sujet difficile, les deux auteurs ont su créer un environnement plein de tendresse et de douceur »,

Mots rumeurs, mots cutter de Charlotte Bousquet & Stéphanie Rubini (Gulf Stream Editeur)

– 2014 : Prix Conseil Général –

(Le) Muret de Céline Fraipont & Pierre Bailly (Casterman)

– 2014 : Prix Région Centre –

Octave, t.2 : Octave et la daurade royale de David Chauvel & Alfred (Delcourt)

– 2004 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Marie : « Cet album, qui a reçu le prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public au festival BD Boum en 2004, est paradoxalement, celui des quatre qui nous a le moins plu. Il est à la fois le plus sombre et le plus austère »,

Ourachima le Brave de Nathalie Bodin (Delcourt)

– 2003 : Prix Nouvelle République –

(La) Parenthèse d’Elodie Durand (Delcourt)

– 2010 : Prix Nouvelle République –

ChezLo : « Beaucoup d’espoir ressort donc de cet album très courageux, pédagogique aussi, sur un drame personnel et familial qui est décrit ici sans concession »,

Choco : « Ce récit se révèle le témoignage fort d’une jeune femme qui se bat pour retrouver une vie normale et devenir celle qu’elle était,  un témoignage sur la mémoire qui a sans aucun doute une vertu thérapeutique pour l’auteur qui nous confie ici ses peurs et ses doutes »,

Enna : « Ce qui est intéressant dans ce témoignage c’est qu’il est étayé par le témoignage des parents de la narratrice qui, elle, n’a que des souvenirs partiels de cette époque »,

Joëlle : « Et un dessin vaut mille mots : je n’ai eu aucun mal à imaginer ses impressions, ses sentiments (…) et sa peur de voir disparaître son passé dans une amnésie galopante, de voir disparaître tout ce qu’elle avait appris tout au long de sa vie »,

Mo’ : « On dirait une sorte d’états d’âme issus d’une autre période. Ils matérialisent de l’angoisse, de la tristesse et un personnage qui est face à face à des démons imaginaires »,

Noukette : « Avec les mots, avec ses dessins, elle comble les vides pour pouvoir tirer un trait définitif sur cette période de sa vie, à défaut de pouvoir oublier »,

(Les) Passeurs, t. 2 de Martin Vidberg & Mickaël Roux (Carabas)

– 2008 : Prix Nouvelle République –

Petit Polio, t.3 : Mémé d’Arménie de Farid Boudjellal (Soleil)

– 2002 : Prix Nouvelle République –

Petits bonheurs de H. Tonton (Vents d’Ouest)

– 2010 : Prix Conseil Général –

Cely : « Tout en délicatesse, cet album nous dévoile ces histoires de maquisards que l’on connait bien, mais vue par la vision d’un enfant »,

(Le) Photographe, t.1 de Didier Lefèvre & Emmanuel Guibert (Dupuis)

– 2003 : Prix Nouvelle République –

ChezLo : « On sourit, mais l’atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l’alternance des photographies et des dessins »,

Mo’ : « Cela permet également de sortir complètement cet ouvrage du registre de la fiction dans lequel ce média (BD) aurait pu l’enfermer »,

(Les) Quatre de Baker Street, t.1 : L’affaire du rideau bleu de Djian & Olivier Legrand & David Etien (Vents d’Ouest)

– 2009 : Prix Conseil Général –

Cely : « Je n’ai plus vu cette couleur sombre avec le même regard, le marron que je trouvais oppressant et sinistre s’enregistrait parfaitement dans le contexte »,

Vepug : « Ce premier tome se lit très vite et l’on y découvre trois enfants et un chat prêts à en découdre avec les méchants dans un Londres fidèle à l’esprit de Conan Doyle »,

(La) Résistance du sanglier de Stéphane Levallois (Futuropolis)

– 2009 : Prix Spécial Nouvelle République –

Enna : « Très belle bande dessinée à l’encre noire avec des effets de gris, à la fois pleine de finesse et de force »,

Rosangella d’Eric Corbeyran & Olivier Berlion (Dargaud)

– 2007 : Prix Région Centre –

Seuls, t.1 : La disparition de Fabien Velhmann & Bruno Gazzotti (Dupuis)

– 2006 : Prix Conseil Général –

Argali : « Cette série est bien faite et je n’ai pas boudé mon plaisir en la lisant. Actions, suspens, humour sont bien dosés et font mouche »,

Cely : « les grands l’apprécient pour sa simplicité, sans fioriture, (…) on a l’impression d’avoir une bd classique entre les mains, et coté jeunesse, le dessin est si réaliste que les enfants peuvent s’identifier facilement aux héros »,

Choco : « Les enfants s’enthousiasment pour l’aspect ludique et libre auquel cette bande d’enfants est confronté, tandis que les parents y verront une belle parabole sur la responsabilité et la force de l’entraide »,

Enna : « Il va falloir apprendre à vivre ensemble malgré leurs caractères différents. Ils vont apprendre l’entraide et vivre des aventures angoissantes, sentant toujours un danger latent… »,

Jérôme : « Vehlmann l’avoue, inspiré par le roman Sa majesté des mouches de William Golding, il a au départ simplement imaginé des gamins se retrouvant un jour dans un monde de liberté absolue »,

Mo’ : « Il faudra donc attendre et reconnaitre le talent de Fabien Vehlmann pour nous mijoter un scénario qui tient la route malgré l’absence de réponses »,

MrZombi : « Autre gros plus, le dessin signé Gazotti (dont je suis fan, depuis que j’ai lu Soda) qui fait vivre ce monde dépeuplé de main de maître »,

Toto l’Ornithorynque, t.1 : « … et l’arbre magique » d’Eric Omond & Yoann (Delcourt)

– 1997 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Badelel : « Il n’hésite pas à marier des teintes qu’on n’aurait jamais soupçonné pouvoir associer. Bref, le graphisme chez Toto, c’est avant tout un coup de pinceau habile, audacieux et judicieux »,

Jérôme : « La structure de l’album réunit les cinq étapes du schéma narratif propre au conte (…). L’album véhicule des valeurs importantes telles que l’amitié et la solidarité »,

Lunch : « Une vivacité qu’on retrouve aussi dans les bulles, avec un texte qui va droit au but, sans fioriture »,

Mo’ : « Émerveillés comme des enfants par le monde qui les entourent, les petits yeux tous ronds de ces personnages sont en permanence remplis d’étonnement »,

(La) Traversée du Louvre de David Prudhomme (Futuropolis)

– 2012 : Prix Nouvelle République –

Mo’ : « Il crée ainsi un méli-mélo visuel qui force le lecteur à s’arrêter régulièrement pour explorer chaque recoin de cases. On s’amuse en permanence d’être associé à ce jeu subtil, intelligent et porteur d’une réflexion sur l’Art et sa place dans nos sociétés, sur l’Histoire et l’Identité »,

(Le) Trio Bonaventure, t.1 : La maison jaune de Corcal & Edith (Delcourt)

– 2003 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Trois ombres de Cyril Pedrosa (Delcourt)

– 2007 : Prix Nouvelle République –

Badelel : « Ce conte charmant n’a ni la tristesse ni la lourdeur qu’il pourrait avoir en abordant ce thème »,

Enna : « … où l’on croise toutes les facette de la nature humaine des plus innocentes au plus sordides »,

Joëlle : « D’ailleurs, en parlant de l’histoire, c’est la poésie et les sentiments forts qui s’en dégagent qui m’ont totalement séduite »,

Lunch : « La couverture est vraiment à la hauteur du scénario, et laisse planer cette atmosphère si particulière (…) »,

Mo’ : « Le sentiment d’être assez proches des personnages se crée rapidement, proximité tant physique (les cadrages utilisés nous projettent dans ce monde) mais également affective (les personnages sont très touchants, on les sent s’aimer et souffrir) »,

(Le) Viandier de Polpette , t.1 : L’Ail des ours d’Olivier Milhaud & Julien Neel (Gallimard)

– 2011 : Prix Conseil Général –

Cely : « Cette bande dessinée culinaire peut-être lu par un large public, les petits seront séduits par l’humour de Fausto et des ses acolytes, les plus grands eux trouveront du plaisir à se laisser bercer par la poétique de l’ouvrage… »,

Enna : « Cette histoire qui se situe dans un lieu et un temps indéterminé est rafraichissante et drôle »,

Jérôme : « Un endroit où le lecteur se sent bien, où la simplicité des relations fait plaisir à voir. Les enjeux humains sont à l’évidence le cœur du récit »,

Joëlle : « Pas de surcharge dans les détails, on a juste l’essentiel pour trouver les vignettes de toute beauté, avec des personnages bien reconnaissables, des petits détails tout mignons »,

Loula : « Je n’ai pas bien vu l’intérêt des petites touches steampunk dans le court flashback sur la vie de Polpette, vu que l’univers bucolique dans lequel on passe l’histoire n’a rien à voir… »,

Victor, t.2 : Barsacane le Dragon de Jean-Luc Loyer (Delcourt)

– 1999 : Prix Ligue de l’enseignement pour le jeune public –

Auteur : Mo'

Chroniques BD sur https://chezmo.wordpress.com/

12 réflexions sur « Roaarrr : BD Boum »

    1. Merci Cely
      Si tu veux, ne t’embête pas à surfer entre tous les articles du Roaarrr. Si tu me le signales sur l’article de présentation du Challenge, je répartirais ton lien dans le(les) autre(s) billet(s). Fais au plus pratique pour toi 😉

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  1. C’est amusant de voir comment on se retrouve tous plus ou moins sur les mêmes albums … serait-ce l’effet bouche à oreille des blogs ? mdr !

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    1. Ça doit forcément jouer le fait de nous lire les uns les autres sur certains titres ! ^^ Il faut dire qu’à force d’échanger entre nous, on commence à bien connaitre les gouts des autres lecteurs. On sait qui a un ressenti proche du notre, complémentaire ou totalement différent… cela aide aussi à se repérer quand il s’agit de choisir ses lectures ^^

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    1. Ah !! Je ne vous dit pas bravo les « BenDis & associé »… quand on sait que c’est vous qui nous avez donner l’opportunité de parler de Toto… non… je ne vous dit pas bravo ^^
      Bon… j’ai enregistré les participations… 🙂

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